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Dans la série film-de-fille-qui-a-l'air-trop-nul-mais-que-je-vais-courir-aller-voir, je voudrais la suite de Sex  and the City dérivé de la série à succès: SEX AND THE CITY 2!!! (ça marchait également avec Confessions d'une acrro de shopping, ou le Diable s'habille en Prada). Je suis une fan inconditionnel de la série, et faire un film grand public à partir de celle-ci ne pouvait être que désastreux. Je suis quand même allée voir le premier, j'ai adoré sur le coup - je devais être en manque de Carrie Bradshaw & co faut croire - parce que une fois rentrée du cinéma le soufflé est retombé et je me suis dit que c'était quand même une sacrée daube. Trop de bling-bling, de cris hystérique, on se serait cru dans les pages pub de Vogue...

Et là le deuxième ne présage que du pire à en voir l'affiche, sans parler de la bande-annonce que je ne peux déjà plus supporter (mais si vous voulez y jeter un coup d'oeil, c'est ici). Je ne suis certainement pas la seule à avoir la pétoche pour notre pauvre Carrie qu'on a transformé il faut bien le dire en poule de luxe. Aller faire un ptit tour sur le web pour voir (genre ici)

Mais bon il faut voir pour juger, alors attendons le 2 juin...

Et comme piqure de rappel, dans les premières saisons de Sex and the City (oui parce que là aussi, après ça se gate!), Carrie Bradshaw et ses acolytes c'était plutôt ça:

ou encore:

Je ne sais pas quand la sortie est prévu en France (c'était le 9 avril en Angleterre), mais j'ai bien envie de découvrir ce nouveau film avec l'étrange mais non moins magnifique Tilda Swinton.

le pitch: dans le château des Recchi, riche famille d'instriels milanais, Emma coule des jours monotones, enfermés dans son mariage et son sens du devoir. Au printemps elle fait la connaissance d'Antonio, surdoué en cuisine et meilleur ami de son fils. Leur rencontre déclenche des passions longtemps réprimées et emmène Emma sur le chemin d'un retour à la vie.

L'affiche est déjà superbe et m'a attiré dès le premier regard, et le trailer m'a tout de suite mis l'eau à la bouche. L'actrice principale est à l'image de tout cela, belle et inquiétante.

Depuis maintenant 5 ans, une cérémonie dit enfin ce que tout le monde pense tout bas des films de l'année. Oubliant le politiquement correct, Stéphane Rose, Arnaud Demanche et Frédéric Royer, à l'instar des Razzie Awards américains remettent des parpaings dorés au pire du cinéma français, mais bizarrement personne ne vient récupérer son prix pourtant si bien mérité. Le plus drôle évidemment sont les catégories, parce que la cérémonie en elle même me rappelle plus les spectacles de fin d'année de mon collège de province...

Jugez plutôt:

Gérard de l’acteur dont on espère qu’il aura jamais de premier rôle quand on voit     comment il se débrouille avec les seconds :

Manu Payet dans RTT

Aure Atika dans Mademoiselle Chambon

Doudi dans Le Missionnaire

Jacky Ido dans Inglourious Basterds

Michèle Bernier dans Thelma, Louise et Chantal

Gérard du film qui parle d’une meuf qui fait moyennement envie, et du coup le film     bah c’est pareil

Mademoiselle Chambon avec Sandrine Kiberlain

La Religieuse portugaise avec Leonor Baldaque

Romaine par moins 30 avec Sandrine Kiberlain

La Reine des pommes avec Valérie Donzelli

Sœur sourire avec Cécile de France

Gérard de l’acteur qui vient manger le pain des     français

Sergi Lopez dans Partir

Monica Bellucci dans Ne te retourne pas

Kad Merad dans RTT

Kristin Scott Thomas dans Partir

Tahar Rahim dans Le Prophète

Benoît Poelvoorde dans L’Autre Dumas

Gérard du film avec des petits chiens ou des grosses     chiennes

Bambou de Didier Bourdon avec le chien Valse

Trésor de Claude Berri avec le chien Georges

Bellamy de Claude Chabrol avec Vahina Giocante

Coco avant Chanel de Anne Fontaine avec Audrey Toutou

Gérard du film pas nul, mais pas bien. Pas nul, hein. Mais pas bien. Mais pas nul     pour autant. Mais pas bien non plus. Mais pas nul. Ceci dit, pas bien. Voyez?

L’Autre Dumas avec Gérard Depardieu

Lucky Luke avec Jean Dujardin

Neuilly sa mère ! avec Samy Seghir

Erreur de la banque en votre faveur avec Jean-Pierre Daroussin

Tellement proches avec Vincent Elbaz

Gainsbourg (Vie héroïque) avec Eric Elmosnino

Gérard de la grosse comédie qui tâche comme on en tournait du temps des Charlots     avec Paul Préboist et Alice Sapritch, sauf qu’on est en 2010

Le Mac avec José Garcia

Protéger et servir avec Clovis Cornillac

Le Baltringue avec Vincent Lagaf’

Rose et noir de et avec Gérard Jugnot

Le Missionnaire avec Jean-Marie Bigard

RTT avec Kad Merad

Gérard de Madame la Grande Actrice qui va s’encanailler dans une comédie de ploucs     pour casser son image de vieille bourgeoise coincée du cul

Fanny Ardant dans Trésor
Catherine Deneuve dans Cyprien

Carole Bouquet dans Protéger et servir

Marisa Berenson dans Cinéman

Gérard du film vraisemblablement adapté d’un article de     Marie-Claire

Une Semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires) avec Mathilde Seigner

Le Père de mes enfants avec Chiara Caselli

Mères et filles avec Catherine Deneuve

Divorces avec François-Xavier Demaison

Je l’aimais avec Daniel Auteuil

Pour un fils avec Miou-Miou

Gérard de l’acteur qui a un nom de maladie

Anna Mouglalis

Sabine Azéma

Niels Arestrup

Denis Podalydès

Serge Hazanavicius

Roschdy Zem

Gérard de l'acteur que c'est pas qu'on l'aime pas, mais on en a un peu marre de     voir sa gueule partout

Clovis Cornillac

Kad Merad

Dany Boon

Omar et Fred

Gérard du désespoir féminin

Monica Bellucci dans Ne te retourne pas 

Elsa Zylberstein dans La Maison Nucingen

Virginie Efira dans Le Siffleur

Sophie Marceau dans L’Homme de chevet

Marion Cotillard dans Le Dernier vol

Gérard du désespoir masculin

Franck Dubosc dans Cineman

Vincent Lagaf’ dans Le Baltringue

Richard Berry dans Le Coach

Jean Reno dans L'Immortel

Sergi Lopez dans Partir

Louis Garrel dans Non ma fille, tu n’iras pas danser

Gérard du titre gay

Rose et noir de Gérard Jugnot

Le Vilain de Albert Dupontel

Trésor de Claude Berri

Le Petit Nicolas de Laurent Tirard

Fais moi plaisir! de Emmanuel Mouret

Tricheuse de Jean-François Davy

Ne te retourne pas de Marina De Van

Black de Pierre Laffargue

Les Beaux gosses de Riad Sattouf

Luc Besson avec Arthur et la vengeance de Maltazard (après Angel-A, Le Cinquième élément…)

Jean-Pierre Jeunet avec Micmacs à tire-larigot (après Un Long dimanche de fiançailles, Le Fabuleux destin d’Amélie     Poulain...)

Cyril Sebas avec Le Baltringue (après Gomez vs Tavares…)

Eric Lavaine avec Protéger et servir (après Incognito, Poltergay...)

Gérard Jugnot avec Rose et noir (après Boudu, Monsieur Batignole...)

Gérard du film que quand tu vas le voir, dans la salle, t’as l’impression d’être     dans un wagon du RER D un samedi soir à Villiers-le-Bel

Banlieue 13 ultimatum de Patrick Alessandrin

Les Lascars de Albert Pereira Lazaro et Emmanuel Klotz

Les Barons de Nabil Ben Yadir Black de Pierre Laffargue

Neuilly-sa-mère ! de Gabriel Julien-Laferrière

Gérard de l’actrice dont le mari s’est tellement couvert de ridicule que ses     réseaux ne lui permettent plus le moindre rôle, pas même un tapin dans le film de Lagaf'

Arielle Dombasle dans rien

Gérard de l’actrice qui ne bénéficie définitivement pas des réseaux de son     beau-frère

Valeria Bruni-Tedeschi dans Les Regrets

Le Baltringue de Cyril Sebas

Trésor de Claude Berri

Oscar et la dame Rose de Eric-Emmanuel Schmitt

Rose et noir de Gérard Jugnot

Cinéman de Yann Moix

Micmacs à tire-larigot de Jean-Pierre Jeunet

Le Petit Nicolas de Laurent Tirard

Même si je n'ai pas vu la plupart des films, il y a certaines nominations et même certains gagnant avec lesquels je ne suis pas vraiment d'accord. Le film sur Serge Gainsbourg m'avait beaucoup plus, et je trouve la blague sur Audrey Tautou/Toutou assez facile (si facile que j'ai pas compris du 1er coup). Eric Lavaine méritait plus son parpaing que Luc Besson, bien que je ne sois pas hyper fan de ce dernier non plus. Mais peu importe cette cérémonie est surtout faite pour décoincer le cinéma français qui se prend un peu trop au sérieux.

Une fois n'est pas coutume, je vais vous parler d'un film, oui mais passé à la télé, sur France 2 plus précisément, le 20 février 2010, et sur une idée de Pierre Palmade. J'ai été très contente de ne pas l'avoir boudé et j'invite tous ceux qui ne l'on pas vu à se précipiter sur le DVD qui va sortir d'ici peu.

le pitch: réalisé comme un spectacle composé de scènettes racontant la tranche de vie de clients ainsi que les mésaventures du propriétaire de l'établissement.

Je ne pourrais vous citer la longue, très longue, liste d'acteurs (tous formidables!!!) qui ont participé à ce film chorale mais je vais tout du moins évoquer les plus mémorables (même si je le répète encore une fois ils sont absolument géniaux): Nathalie Baye, mère au foyer qui veut devenir Présidente de la République, Jean Rochefort et Thierry Lhermitte en ami d'échec "alimentaire", Pierre Arditi et Dave en couple franco-hollandais, Edouard Baer en client dépressif qui ne veut pas payer, Patrick Timsit en Super-Nono...

Toutes les scènes sont désopilantes, et les clins d'oeil sont assez bien vus comme la rencontre entre Pierre Palmade et Michel Laroque ou encore la scène hommage à Louis de Funès, dont même le titre lui a été pris.

A noter entre les "poids lourds" du cinéma français (Gérard Depardieu, Andrée Dussolier, Victoria Abril, Michel Aumont, Yolande Moreau...) la présence de la nouvelle génération que Palmade n'a pas oublié de mettre en valeur: Axel Lutz (mon préféré de tous!!), Maxime Godart (mais si, Le Petit Nicolas), Bénabar ou encore Jérémy Kapone (vu dans LoL) en serveur qui fait tourner la tête du directeur.

Casablanca tout le monde connait, et si ce n'est pas le cas, courez à la Fnac acheter le DVD et admirez Humphrey Bogart et Ingrid Bergman dans leur histoire d'amour impossible!! Je ne vais donc pas vous  présenter celui qui est pourtant mon film préféré (avec Citizen Kane, mais ils ne concourent pas dans la même catégorie), mais je vous recommande chaudement de jeter un oeil sur le meilleur hommage qui a pu être fait de ce chef d'oeuvre!! Les Looney Toons me manquent... je sais que je parle assez de dessins animés comme ça, alors je vais me calmer dans les prochains posts.
Titi est parfait en Peter Loore quant à Pépé le putois en commissaire Renauld alias Claude Rains, on aurait pas pu trouver une correspondance plus parfaite.

A voir ici...

Entre Bogie et Bunny, lequel est votre préféré?

Fini de toujours remettre au lendemain, je poste à nouveau!! woup woup!! Alors celui-là c'est vraiment un gros coup de coeur que j'ai eu il y a quelques années (2006 donc) et que depuis j'offre en DVD à tout mes amis les yeux fermés. Un film délirant, kitsch, hilarant, et fait même sursauter les plus peureuses (aka myself).

le pitch: Une petite maison de retraite de l'Amérique profonde est menacée par une terrible momie, Bubba Ho-tep, qui veut absorber l'énergie vitale de ces paisibles pensionnaires. Elvis en personne - qui n'est pas mort du coup - va l'affronter...

La seule idée d'avoir ressuscité le King et de le retrouver à la maison de retraite est brillante et promet un film unique en son genre. C'est tout à fait ce qu'on a ici! Si le début du film nous laisse un peu perplexe ,dès que les premiers signes de momie font leur apparition - sous la forme d'un énorme scarabée - qu'Elvis combattra à coup de bidet la partie devient intéressante. Les seconds rôles sont assez bien choisit, entre le JFK noir et le vieux Zorro à cape les vieux n'en ont pas finit de nous faire marrer.

Elvis reprend du service!!

Et ma réplique préférée de tout les temps (mais bon faut connaître le contexte): "Watch your ass!"

Comme je vous l'ai avoué hier, j'ai passé une semaine à baby-sitté, du coup j'ai vu beaucoup, beaucoup de dessins animés, seul moyen d'avoir un moment de répit... Entre les Disney douteux (Atlantide, Frères des Ours, Tarzan...) et autres Titeuf du matin sur Fr3, j'ai enfin découvert le plus poétique, le plus beau et le plus réfléchi de tous... Le Roi et l'Oiseau!!!

le pitch: le roi Charles V et Trois font Huit et Huit font Seize règne en tyran sur le royaume de Takicardie. Seul un Oiseau, enjoué et bavard, qui a construit son nid en haut du gigantesque palais, tout près des appartements secrets de Sa Magesté, ose le narguer. Le Roi aime les arts, ainsi qu'une jolie Bergère qui figure auprès d'un jeune Ramoneur sur un tableau qui orne sa chambre royale. Ils sont épris l'un de l'autre et doivent s'enfuir pour échapper u Roi, qui les poursuit accompagné de ses sbires moustachus.

Réalisé par Paul Grimaud, avec la participation de Jacques Prévert pour les dialogues et les chansons (excusez du peu!), ce chef d'oeuvre a inspiré plus d'un réalisateur dont Miyasaki (Le Voyage de Chihiro, Mon Voisin Totoro...) qui ne cache pas l'influence de ce dessin animé sur sa propre production.

Un film que tout parents doit montrer à ses enfants donc...

La Bergère et le Ramoneur qui découvrent le monde

Après une semaine passer avec mes neveux et nièces (expliquant ainsi le manque de post...) je n'ai qu'une envie, rétablir la vérité: les petites têtes blondes ne sont pas si angéliques que ça!! de vrais petits démons peuvent se cacher derrière leurs doux visages et vous faire passer une semaine vraiment, vraiment fatigante (toute ressemblance avec des faits réels me concernant est totalement fortuite...). Pour preuve ce film fantastique des années 60 The Village of the Damned qui stoppe net toute envie de pouponner.

le pitch: une bourgade est victime d'un phénomène surnaturel. Quelques mois plus tard, douze têtes blondes naissent au même instant avec des intentions particulièrement hostile...

Avec Georges Sanders et Barbara Shelley en parents aimants mais dépassés par leur fils machiavélique David, interprété par l'inquiétant et pourtant si mignon Martin Stephen. Un remake a été fait en 1995 avec Cristopher Reeve, je ne l'ai pas vu, mais comme pour tout les remakes mieux vaut s'en tenir à l'original!

Ne vous fiez pas à leurs beaux yeux, ils peuvent lire dans vos pensées...

Je vous en avez déjà parlé de ce film que j'attendais avec impatience suite à la bande-annonce qui m'avait fait bien rigolé... Eh bien j'y suis allée, j'ai vu et j'ai été déçu!!

le pitch: entre Dorothée et Nicolas, c'est le coup de foudre. Ensemble, ils en sont sûrs, ils vont vivre une très très grande histoire d'amour... Mais la vie s'ingénie toujours à contrarier les meilleurs résolutions.
 
1h40 de grande solitude, dans une salle de cinéma totalement vide où j'étais la seule et unique spectatrice (alors déjà on a un gros doute sur le film, avant même qu'il commence). Je me serais cru par moment dans une sitcom Ab Production (vous savez Hélène et les garçons, le miel et les abeilles tout ça...) tant les sentiments sont cul-cul et le jeux d'acteurs trop 1er ou 2nd degré, on ne sait plus trop. Je me suis ennuyée et étais vraiment déçue par la performance de Julien Doré, que j'aime pourtant tellement, car malgré son accent du Sud, il ne m'a pas fat autant rire que dans la bande-annonce, qui est le seul truc bien à retenir dans ce film.

Alors un conseil n'y allait pas, sauf si vous voulez dépenser 7 euros dans le vent!

Désolée de vous infliger ça, mais c'est pour ma séquence nostalgie. Ce n'était certainement pas un grand film, pourtant j'y ai traîné ma mère de force à sa sortie en 1997 (d'ailleurs elle me le rappelle encore comme l'un des pires moments de sa vie!). Bizarrement il ne passe pas vraiment souvent à la télévision (lol inside), et je n'ai pas poussé le vice jusqu'à m'acheter le DVD, donc cet article ne se fait que sur mes souvenirs vieux de plus de 10 ans.

le pitch: quelques jours dans la vie des Spice Girls avant leur premier concert au Royal Albert Hall. Les membres du groupes y jouent bien sûr leur propre rôle.

Comme je voie que vous avez la critique facile, il faut toutefois préciser que Roger Moore fait parti du casting, ainsi qu'Elton John et Elvis Costello dans leurs propres rôles, mais également Hugh Laurie (aka Dr House) et d'autres personnalités britanniques.Mais bon c'est un navet, on est d'accord, il ne pouvait plaire qu'aux gamines hystériques et complétement folles qui faisaient parties du noyau dur des fans des Spice Girls! Mais ne nous blâmez pas si facilement, la même chose se passe de nos jours avec High School Musical, ou Sex and the City, des films dont seuls les fans peuvent apprécier, même s'ils savent bien au fond d'eux que c'est de la merde!

Alors pour tous ceux qui assument d'avoir de temps en temps dans leur Ipod, des chansons complètement ringardes, déculpabilisez et mettez Wannabe à fond!

Yo, I'll tell you what I want, what I really really want,
So tell me what you want, what you really really want,
I'll tell you what I want, what I really really want,
So tell me what you want, what you really really want,
I wanna I wanna I wanna I wanna I wanna really
really really wanna zigazig ha...